Diagnostic immobilier des performances énergétiques: une étude…

L’année 2012 s’annonce prometteuse pour le marché des diagnostics immobiliers, après tant de réformes, et les réformes continuent, et des projets de loi annoncés, le diagnostic immobilier rencontre une légère augmentation et plus d’examens de diagnostic seront réalisés contre une baisse inattendue dans les transactions immobilières.

En 2012 le marché de l’ancien comme le marché du neuf devront ralentir à déclaré Laurent Vimont dans une entrevue, et ses statistiques ont été déjà annoncées par Philippe Buyens qui a finit par donné les mêmes estimations des mois auparavant. Il est estimé que le nombre total des transactions dans l’ancien baisseront de 600 000 qui fait une baisse de 15% contre 2011, le neuf aussi tombe de 20% un chiffre qui signifie beaucoup.

Avec des baisses pareille le marché de diagnostic immobilier est concernée et les diagnostics continuent d’être aussi rassurant lors de toutes transaction, diagnostic immobilier obligatoire ou facultatif, à l’image du diagnostic des performances énergétiques qui fut le sujet d’une étude menée par le réseau EX’IM pour déterminer si les nouvelles normes mises en œuvre sur les performances énergétiques sont rassurantes ou non.

L’étude à révélée que plus de 152 951 diagnostics de performances énergétiques a été effectué depuis l’obligation de ce dernier en 2006 au 31 juillet 2011, une enquête sur les logements français et le diagnostic des performances énergétiques concernant les biens résidentiels seulement excluant tous les biens publics comme les bureaux et bâtisses administratives.
Avec une durée de validité de dix ans, le diagnostic des performances énergétiques est le troisième diagnostic immobilier qui a la plus longue durée après le diagnostic loi carrez et le diagnostic amiante qui ont une validité illimitée.

Les biens immobiliers de type BBC (bâtiment basse consommation) sont de nos jours correspondant aux classes les plus performantes (A et B) et on les voit de plus en plus rares (1,39% du parc immobilier français), la plupart des logements dits énergétiquement performants (31,91%) se contentent d’une classe D et même si le diagnostic immobilier des performances énergétiques ne semble pas très au rendez-vous, des améliorations sont notées au biais des différentes politiques énergétiques annoncées l’une après l’autre.

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